Enrico Macias - TICTACTOC

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30 chansons (1h 45min) - défilement automatique

Né à Constantine, il appartient à une famille juive de musiciens du malouf. Son père était violoniste dans l’orchestre de Raymond Leyris dit Cheikh Raymond (beau-père d'Enrico Macias), mais il apprend aussi la guitare avec des amis gitans, ce qui lui vaudra le pseudonyme du petit Enrico. Enrico deviendra plus tard son prénom d’artiste. Son nom d'artiste résulte d'une erreur de la secrétaire de la maison de disque qui a mal compris son nom au téléphone et le baptise "Macias", alors qu'Enrico lui avait soufflé "Nassia".

D’abord instituteur en 1956, il rejoindra l’orchestre de Cheikh Raymond. La mort de ce dernier, symbole de l’échange entre les communautés d’Algérie, assassiné par le FLN en 1961, décide la famille Ghrenassia à quitter l’Algérie, le 29 juillet 1961, onze mois avant la fin de la guerre d'Algérie, alors qu’il allait célébrer son union avec Suzy, la fille de Raymond Leyris. Il s'installe à Argenteuil.

Installé à Paris, il travaille irrégulièrement jusqu’à ce qu’il fasse la première partie d’un concert de Gilbert Bécaud et passe à la télévision dans l’émission Cinq colonnes à la une. Il adopte alors le pseudonyme d’Enrico Macias. Très apprécié du public pied-noir, son audience s’élargira rapidement.

Reconnu internationalement, il reçoit le titre de chanteur de la paix en 1980 de Kurt Waldheim.

En 1985, il reçoit la Légion d'honneur de Laurent Fabius. Il est promu au grade d'officier en avril 2007.

En 1998, il devient membre du conseil de surveillance du groupe Partouche. Il est également directeur général délégué de la Société européenne de grands restaurants, qui gère le Laurent, et appartient au groupe Partouche.

Le 14 février 2007, il annonce son soutien à la candidature de Nicolas Sarkozy dans l'émission de Laurent Ruquier, tout en affirmant rester de gauche. Il a déclaré à cette occasion qu'il aurait pu soutenir Laurent Fabius ou Dominique Strauss-Kahn s'ils avaient été candidats, et a vivement critiqué l'attitude de Ségolène Royal vis-à-vis d'Israël et du Hezbollah.

Il prévoit d'accompagner le président de la République, Nicolas Sarkozy, lors d'un voyage officiel en Algérie en décembre 2007 mais doit renoncer suite à l'opposition des autorités algériennes et particulièrement du premier ministre Abdelaziz Belkhadem.

 
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